Initialement prévue du 17 mai au 7 Juin 2023 au Centre Culturel Bruegel, cette exposition est reportée à une date ultérieure.
Venez plonger dans l’univers passionnant des volcans!
« Volcan », une exposition qui retrace la dernière éruption volcanique européenne de grande ampleur, celle du Tajogaite, sur l’ile de La Palma.
Un voyage géopoétique visuel et sonore qui mêle art, anthropologie et vulcanologie et qui explore nos liens paradoxaux à ces montagnes de feu, synonymes de destruction mais aussi de fertilité et création.
Une exposition qui offre une vision kaléidoscopique des volcans et qui par sa juxtaposition d’œuvres pluridisciplinaires vous fera découvrir l’univers intime de ces géants qui se réveillent dans notre monde où de grands basculements s’opèrent.
Lors du vernissage nous projeterons le documentaire « Fire of Love. »
Fire of Love est un film documentaire américano-canadien produit, écrit et réalisé par Sara Dosa et sorti en 2022. Le film raconte la vie des volcanologues Katia et Maurice Krafft: Un voyage romantique, mais aussi tragique, à travers des images spectaculaires et inédites de zones volcaniques à couper le souffle.
Commissaire: Caroline Kempeneers
Avec comme artistes intervenants:
Réalisatrice – plasticienne : Chris Pellerin
Autrice et sons: Caroline Kempeneers
Illustratrice – plasticienne : Mathilde Dujardin
Photographe : Arturo Rodriguez
Scientifique intervenante:
Anthropologue : Julie Hermesse
L’illustration de l’affiche est de Mathilde Dujardin, le graphisme de l’exposition de Marta Fuentes et l’aide à la création sonore de Margaret Hermant et Fabien Leseure.
Un projet en partenariat avec le Centre Culturel Bruegel, le Cabildo de Santa Cruz de la Palma, l’UCLouvain.
Avec l’aide du fond recherche-création de l’UCLouvain, la Fédération Wallonie-Bruxelles en Langue Française, les échevinats de la ville de Bruxelles CULTURE/ SENIORS.
Marguerite Akarova, « sans étoile où va ton coeur » est une exposition en l’honneur de l’artiste bruxelloise Marguerite Acarin dite Akarova, danseuse, chorégraphe, artiste d’avant-garde pluridisciplinaire du XXème siècle.
Des portraits de femmes ont émergé d’un processus participatif de découverte, dans l’action, de la vie de la chorégraphe belge et de ses pratiques artistiques multiples.
L’exposition, présentée sous forme d’installation, cherche à créer un pont entre générations.
Un projet mené par le Collectif auQuai auprès d’un groupe intergénérationnel de femmes.
Visite guidée de l’exposition sur rendez-vous
Veuillez contacter directement le Collectif auQuai : auquai@gmail.com
Un projet du Collectif auQuai asbl développé avec le soutien de la ville de Bruxelles (« Patrimoine 2021 »), en collaboration avec le Centre Culturel Bruegel et le magasin « Au Coin Vert » (rue Blaes 108, 1000 Bruxelles).
Vernissage le jeudi 16 juin de 16h à 20h
INFOS PRATIQUES
Ouverture au public : du lundi au vendredi de 10h à 16h
Entrée libre
Du petit garçon des Marolles à la star mondiale. Jean Baptiste Victor Frédéric « Toots » Thielemans est né le 29 avril 1922 ‘in d’Huugstroêt’. À l’âge de trois ans, il jouait déjà de l’accordéon. À 17 ans, il découvre l’harmonica. Vers 20 ans, suite à un pari avec un copain, il apprend à jouer de la guitare, toujours en autodidacte, entre autres inspiré par Django Reinhardt.
En 2022, nous célébrons son 100ème anniversaire au CC Bruegel avec une exposition photos inédite : quelques photographes réguliers du festival Brosella Folk & Jazz exposeront leurs plus beaux clichés de l’artiste du 23 avril au 4 mai.
Les photographes
Geert Currinckx, Michel Binstok, Johan Van Eycken, Jos L. Knaepen, Annie Boedt, Didier Wagner, Serge Braem, Jempi Samyn, Jean-Luc Goffinet, Lieve Boussauw.
Programme du samedi 23 avril – Inauguration du géant Toots
Nous vous donnons rendez-vous à 13h au Centre Culturel Bruegel pour une déambulation dans les Marolles et le Centre de Bruxelles en compagnie des Géants Toots, Adolphe Sax, les Jumelles Marion et Isabelle, de la Fanfare « Les Amis d’Pierot » et des Mignonnettes du quartier Bruegel Marolles.
Marraines : Véronique Heene-Thielemans et Marie-France Vankueken.
INFOS PRATIQUES
Ouverture au public : du lundi au vendredi de 10h à 16h
Entrée libre
Projet d’illustration qui créé du lien à travers les pays et les générations
J D O U D (grand-parent en arabe) est un projet d’illustration qui repose sur des échanges en ligne durant lesquels 5 illustratrices tunisiennes et 5 illustratrices belges ont travaillé en binôme. Sur base d’objets de la grand-mère ou du grand-père récoltés pour l’occasion, chaque duo a dessiné un portrait du grand-parent de sa partenaire.
J D O U D est un partage. C’est tendre la main vers une autre histoire et faire lien. C’est trouver du commun dans les différences.
INFOS PRATIQUES
Vernissage en présence de l’équipe du projet : 14 avril de 18h à 21h
Ouverture au public : 19 mars > 3 avril de 11h à 16h
Ateliers ouverts au public : 16 & 17 avril de 10h à 12h (exposition visible jusqu’à 16h)
Entrée libre
Vernissage le 9 décembre de 18h à 21h
Ce mot, liberté, le plus beau et à la fois le plus exigeant aux yeux d’Eric Schmickrath, se retrouve dans ses créatures ailées aux regards expressifs ainsi que dans ses compositions minérales aux couleurs pétillantes ou profondes.
Plus d’infos sur le travail d’Eric Schmickrath
Ouvert du lundi au vendredi de 10h à 16h
+ le samedi de 11h à 16h
L’exposition sera exceptionnellement ouverte les 27, 28 et 29 décembre et sera fermée les samedis 25 décembre et 1er janvier.
Le Covid Safe Ticket est obligatoire pour assister au vernissage.
Entrée libre
Vernissage le 18 novembre de 19h à 21h
Weekend d’ouverture du 19 au 21 novembre de 11h à 16h
Ce projet est né de la collaboration entre la Fondation pour l’Assistance Morale Aux Détenus (FAMD) et Mus-e Belgium asbl-vzw. Il est porté par Laurent Quillet et Despina Psimarnou.
Notre idée première était d’inviter les prisonniers à créer leur propre portrait, en se photographiant eux-mêmes, tout en leur laissant carte blanche sur le choix du vêtement ou de l’univers qu’ils souhaitaient représenter. Progressivement, un travail sur leur perception de leur identité a commencé, incluant leurs souhaits, leurs peurs et la vision de leurs vies futures. Certains prisonniers se sont présentés avec des photos de leurs proches et nous ont demandé de les intégrer à leur portrait.
Dans un second temps, nous les avons invité à poser de façon neutre, sans sourire. Puis, nous les avons confronté à des peintures classiques, ceci dans le but de questionner notre regard et notre jugement sur les notions de noblesse, d’humanité et de beauté. Au moyen de casques audios, vous pourrez entendre ces mêmes prisonniers s’exprimer sur leurs ressentis face à ces toiles.
En cette pandémie, le confinement en milieu carcéral s’impose bien plus virulent et inhumain qu’en société. Des témoignages de détenus sur leur vécu durant ces interminables enfermements viennent s’intégrer à leurs tableaux et donnent naissance au volet « Témoignages sur le confinement ».
Laurent Quillet et Despina Psimarnou
Vernissage le 26 août de 18h à 21h
Prestation de finissage le dimanche 3 octobre de 11h30 à 15h
Cette exposition n’a pas la prétention de faire de la photo d’art ni de supplanter les photographes « pros » mais de montrer 45 ans de vie du groupe des Mignonnettes du Quartier Bruegel-Marolles.
Grâce à ces photos, se rappeler de bons moments, des instants magiques, des instants de joie et parfois de larmes vite oubliées.
La façon dont un groupe peut générer de l’énergie avec des jeunes de tous bords et conditions sociales très différentes.
Comment des familles entières peuvent s’investir dans une activité sportive et ludique avec fierté des choses bien faites.
Comment de par un groupe folklorique acquérir des valeurs culturelles et s’enrichir au contact des autres, ou tout simplement passer un bon moment ensemble et se créer ainsi des souvenirs.
Voilà le reflet que nous voulons vous partager.
Marie-Jeanne Falisse
Ouvert du mercredi au samedi de 11h à 13h et de 15h à 19h
+ le dimanche de 11h à 16h
Exceptionnellement fermé les 18 & 19 septembre.
Fermé les lundis et mardis.
Ouvert du lundi au vendredi de 10H à 16H
Ouvert les samedis suivants de 11H à 16H : 27.03 – 3.04 – 24.04 – 8.05 – 15.05 – 29.05 – 5.06 – 12.06 – 19.06 – 26.06
4 artistes belges de 3 générations différentes, Marcelle Dumont, Jean Harlez, Carl Norac et Caroline Kempeneers, liés par leurs voyages respectifs dans cette région du Grand Nord en pleine mutation, se sont réunis pour vous plonger dans l’univers d’une terre foisonnante d’histoires, et encore trop méconnue.
Dans des casques audio, se rajoutent à leurs propres fragments littéraires ceux des incontournables Knud Rasmussen, Paul-Emile Victor, et Jorn Riel, le tout sur des fonds sonores aquatiques et enchanteurs signés Margaret Hermant et Fabien Leseure. Des photos de Caroline Kempeneers, la collection personnelle de Tupilaks de Carl Norac, et la madone Notre-Dame du chemin de la Lune de Jean Harlez complètent de voyage géopoétique aux accents anthropologiques, chamaniques, fictionnels, réalistes et surréalistes.
Une production du Centre Culturel Bruegel, dans le cadre du Contrat de Quartier Durable Marolles, avec le soutien de la Ville de Bruxelles, du CPAS, de la Fédération Wallonie-Bruxelles, des Halles Saint-Géry et du Fonds de dotation Paul-Emile Victor.
Possibilité de visites guidées sur réservation
Entrée libre sur réservation obligatoire : ccbruegel.be
Temps moyen de visite : 1h à 1h30
Nous vous demanderons le port du masque.
Du gel désinfectant pour les mains sera également mis à disposition.
Quatre ans après l’inauguration de l’Éloge de la Fuite (les gouttières du bâtiment) et de Courage Fuyons ! (l’exposition attenante), j’ai convié Marco Dessardo à revenir au Centre Culturel Bruegel.
Il en a profité pour y inviter quelques amis et collègues pour une exposition Plans Anti-Dérive.
Autour de ses bateaux-sculptures et leurs accessoires, Philippe Gardien a dessiné une BD qui traverse toute l’exposition, Stéphane Gillier a écrit une fiction volcanique et criminelle, Caroline Gehu édite le catalogue, Julien Hyvrard fera des nœuds le jour du vernissage, Amélie Charcosset et Anne Versailles organisent deux ateliers d’écriture avec des voisins marolliens, Cornelia Konrads imagine les maquettes de Basiluzzo, Bernard Zaccone présente ses maquettes de voiliers performantes et Gildas Roudaut montre une Indiscutable Motogodille.
Christine Rigaux
Expo ouverte sur RDV du lundi au vendredi entre 10h et 16h
Possibilité de visites guidées sur réservation OBLIGATOIRE
Entrée libre
Réservations : 02 503 42 68 ou info@ccbruegel.be
Nous vous demanderons le port du masque. Du gel désinfectant pour les mains sera également mis à disposition.
Exposition de planches BD, réalisées par des jeunes dans le cadre d’un projet de lutte contre les discriminations.
La projection de 20H sera suivie d’un échange avec l’équipe du film.
Infos & réservations : fjmarolles@gmail.com / 0488 26 90 23
© Manu Vanderveken, La coiffe de la justice.
La rue des Minimes, dans le quartier populaire des Marolles, fait le pont entre les institutions et les habitants. Cette rue qui s’est également appelée Super Zabulum quo iter versus Obbruxellam, par où on va du Sablon à Saint-Gilles, est riche à explorer.
Vingt-cinq étudiant·e·s en architecture présentent leurs découvertes par leurs productions plastiques et audiovisuelles autour de ce contexte urbain historique figurant diverses fractures : sociales, économiques, physiques entre le haut et bas de la ville notamment.
Une exposition des étudiants de l’UCLouvain – LOCI, faculté d’architecture, d’ingénieurie architecturale et d’urbanisme. Question d’architecture 2019-2020
Architecture et Arts contemporains, se saisir du réel
Cette année, pour la fête des morts, le Centre Culturel Bruegel souhaite rendre hommage aux 450 ans de la mort du peintre Pieter Bruegel. L’artiste graveur mexicain Artémio Rodriguez nous a permis d’exposer une reproduction de son oeuvre inspirée du «Triomphe de la Mort» de Pieter Bruegel. La gravure originale a été réalisée en 2007. Il en existe 9 exemplaires.
A partir de cette gravure, le Centre Culturel Bruegel et Calaveras ont invité une sélection très restreinte d’artistes bruxellois à créer une oeuvre originale inspirée par leur voyage imaginaire entre le Dia de Muertos mexicain et/ou l’oeuvre de Pieter Bruegel.
Manon Brûlé, Sophie Le Grelle, Etienne Panier, Sarah Brûlé, Eve Deroek et Nicolas Fong, Le fils de Luc, Nicolas Moog et Camille Bertagna, Marie Dumoulin, Morgane Griffoul
L’autel à offrandes a été réalisé par Sandra Rivas. Il reprend les éléments essentiels de l’autel traditionnel mexicain : le sel, l’air, l’eau et le feu, et sa forme répond en écho au grand Quetzalcóatl de la procession. Le Quetzalcóatl, le serpent à plumes, est un dieu présent dans toute la culture pré-hispanique, qui représente la Transformation. Ici, la mort est la dernière transformation.
L’autel rend hommage à Francisco Toledo, grand peintre contemporain mexicain et Miguel León Portilla, spécialiste de la culture pré-hispanique et Camille Desaver chroniqueur fidèle du Marollien Rénové et raconteur de blagues, qui nous ont tous trois quittés cette année.
Du lundi au vendredi de 10h à 16h
Une exposition dans le cadre de « Dia de Muertos dans les Marolles », une initiative du Centre Culturel Bruegel en collaboration avec Celia Dessardo et Israel Alonso Arbesu.
Bruegel 450 est un processus participatif, ouvert aux habitants, en trois étapes :
– 6 balades thématiques pour dessiner et photographier le quartier des Marolles.
– 6 BabelART, après-midis d’ateliers artistiques en espace public, pour co-construire une tour de Babel avec les photos et dessins issus des balades.
– 1 restitution en exposition au Centre Culturel Bruegel.
Venez découvrir le résultat de ce processus créatif et participatif réalisé en 2019 dans les Marolles !
Du lundi au vendredi de 10h à 16h
Bruegel 450, un projet du Collectif auQuai asbl avec le Centre Culturel Bruegel, les associations marolliennes et les bruxellois participants, pour les 450 ans de la mort de Pieter Bruegel l’Ancien, dans le cadre du Contrat de Quartier Durable Les Marolles.
L’Académie des Arts s’expose au cœur de Bruxelles et vous invite à la rencontrer pour la nouvelle session d’inscriptions à l’année 2019-2020. Implantée à deux pas de la place du Jeu de Balle, elle dispense des cours d’arts plastiques pour les adultes, ados et enfants de tous horizons.
Plus d’infos : acabxl.eu
Ouvert du lundi au vendredi de 10h à 18h
Entrée libre
VERNISSAGE / Mercredi 26 juin 2019 / 18h-21h
FINISSAGE / Dimanche 30 juin 2019 / 16h-21h
« Skate and Save » is a concept supported by Skateboarders asbl whose goal is to reduce the ecological impact of skateboarding, to do something for all trees transformed into skateboard that we have destroyed for too long without doing anything.
Through different means such as serigraphy, series of limited boards, event benefit, an auction, your donations…etc.
Skate and Save would like to gather a maximum of money until 2020 to offer it at Le Grand Bois Commun
Le Grand Bois Commun is a cooperative wishing to buy 80ha forest which have been put on sale with the intention to save this green space to make it a public project in harmony with nature.
Economy by skaters for nature
skateandsave@gmail.com
VERNISSAGE / Mardi 30 avril 2019 / 17h-20h
FINISSAGE / Vendredi 14 juin 2019 / 14h-16h
Le comité culturel MELTING’POTES – SAMA CULTURE, est un groupe de personnes qui choisissent ensemble des sorties culturelles et des projets artistiques à expérimenter en collectif. Cette exposition est l’aboutissement de leur premier projet, lancé en 2018 avec le désir de montrer en images la richesse interculturelle des Marolles.
Œuvres du comité culturel MELTING’POTES – SAMA CULTURE.
Un projet d’Article 27 # Bruxelles et du Comité de la Samaritaine.
Ateliers de photographie animés par Photo Gallery asbl /vzw.
Ouvert du lundi au vendredi de 10h à 16h – entrée libre
Mercredi 27 mars 2019 / 18h-21h
L’Académie des Arts s’expose au cœur de Bruxelles et vous invite à la rencontrer. Implantée à deux pas de la place du Jeu de Balle, elle dispense des cours d’arts plastiques pour les adultes, ados et enfants de tous horizons.
Les élèves vous montrent leurs créations, avec des animations mêlant professeurs, élèves et toute personne intéressée.
Que vous aimiez la couleur, travailler la terre, peindre, communiquer par l’image, illustrer des histoires, dessiner, explorer le corps humain ou sculpter, vous y serez heureux !
Ouvert du lundi au vendredi de 10h à 18h
Entrée libre
VERNISSAGE / Mardi 12 mars 2019 / 18h-21h
Intime Vulnérabilité Gynécologique, une exposition basée sur des histoires personnelles, un récit choral qui plonge les visiteurs dans un univers intime et fragile. Bienvenu-e-s au cœur de nos Irréversibles Vécus (bien/trop) Gardés. Dans un espace blanc et confiné, des voix d’hommes et de femmes parlent, lèvent un voile sur la partie invisible de l’iceberg souvent inconnue. Les mots flottent, rebondissent, se frappent, s’entremêlent et accrochent l’oreille de celui qui écoute cette narration composite, interrogeant l’avortement sous des regards croisés. Un projet de Serena Galante et Caroline Kempeneers.
Ouvert du lundi au vendredi de 10 à 16h, excepté le jeudi jusqu’à 18h
Ouverture exceptionnelle le samedi 16 mars durant Marolles MaDivercité
FINISSAGE / Samedi 23 mars 2019 / 15h-21h
18H : débat participatif « Pour une prise en charge féministe des IVG »
Un débat participatif organisé par les artistes en collaboration avec Bruxelles Laïque. En présence d’intervenants médicaux et sociaux du CAL, de Femmes et Santé asbl, de Gahcepa, de la Fédération pluraliste de plannings et de Garance Asbl.
Dossier de presse IVG / La DH en parle / Elle Belgique en parle
Mercredi 12 décembre à 14H
Deux écoles, un quartier et beaucoup de belles idées.
Depuis 2016, des enfants du C. P. Vlaesendael et de l’école primaire Charles Buls de 8 à 13 ans ont créé des liens et partagé des points de vue autour d’un thème qui leur est cher « NOTRE QUARTIER LES MAROLLES ».
Le site maparole.be est né de leurs échanges, de leurs questionnements et de leur créativité. Aujourd’hui, il est temps d’ouvrir la porte aux autres enfants du quartier et d’aller à leur rencontre.
Ouvert du lundi au vendredi de 10h à 16h
Entrée libre
VERNISSAGE
6 décembre 2018 / 18H-21H
Slaace, c’est le premier Salon Latino-Américain d’Art Contemporain en Europe. Un collectif d’artistes issus de plusieurs pays qui exposent ensemble : Argentine, Bolivie, Brésil, Colombie, Equateur, Mexique et Venezuela, répartis en deux emplacements à Bruxelles : la galerie G3 et le Centre Culturel Bruegel.
Permanences les 7, 8 et 9 décembre 11h à 16h
Entrée libre
Vendredi 2 novembre de 18h à 21h
« DIA DE MUERTOS” Exposition Collective Internationale chez Calaveras et au Centre Culturel Bruegel !
1 EXPO, 2 ENDROITS
Plus de 30 artistes mexicains et européens (issus de la scène graphique) présentent leurs gravures et sérigraphies sur le thème du jour des morts …à la mexicaine !
Exposition dans le cadre du week-end du 2 novembre Dia de Muertos dans les Marolles.
En collaboration avec la galerie mexicaine La Sonrisa de la Muerte !
Permanences
Centre Culturel Bruegel : du lundi au samedi de 10h à 16h
Calaveras : Mercredi de 13h à 18h / Du jeudi au dimanche de 10h à 18h
Entrée libre
02.09.2018 / 11H-15H
Antoine Paris expose au Bruegel. Mais qui est donc Antoine Paris ? On ne sait pas vraiment…
Tout ce qu’on sait c’est qu’il fait de la peinture et qu’il se débrouille plutôt pas mal.
Est il raëlien ? Est-il chauve par choix métaphysique ou simplement parce que son cerveau continue à pousser après la date indiquée sur le couvercle ?
Tant de réponses qui restent en suspend. Mais ce qui compte vraiment c’est qu’il nous gratine d’une expo dorée au four et plongée trois fois dans l’huile de friture, belgitude temporaire oblige.
A vos stylos vous avez une heure !
Ouvert du lundi au samedi de 11h à 16h
Finissage le vendredi 21 septembre de 18H à 21H
Entrée libre
Vincen Beeckman
VERNISSAGE
17 octobre 2018 / 18H-21H
Emblème hospitalier des Marolles l’hôpital St Pierre a été le sujet d’un travail d’immersion de plusieurs artistes commandité par le Centre d’Art Recyclart.
Anna Raimondo a réalisé des captations sonores dans le hall d’entrée,
Lucie Martin a collectionné des statistiques textuelles de cet univers médical,
Flavien Giller et Aicha Bentebbouche ont posé leur micro sur toute sortes de sonorités même infimes pour vous les faire découvrir,
Noémie Delèze a exploré l’uniforme et l’uniformité des vêtements de travail,
Olivier Spinewine a composé une série de croquis dans les salles d’attente et le photographe Esteban Miraflores s’est immissé dans les salles d’orthopédie, de gériatrie et des urgences.
Ouvert du lundi au samedi de 11h à 16h
Entrée libre
Eetbare tentoonstelling (objects, meubels, video, geluid)
Door het blootleggen van de relaties tussen objecten en hun associatie met andere vormen in een ruimte, stelt het werk de waarde van objecten in vraag. Door het abstraheren van de vorm worden verwachtingen, betekenis en functies herschikt. Een nieuw scenario ontspringt waar vormen verschijnen in een constante staat van “Flux” met als doel een interactie uit te lokken tussen de kijker en de context waarin het werk gepresenteerd is.
Edible exhibition (objects, furniture, video and sound)
The work questions the value of objects by studying the immediate relationship to objects itself and their association with the meaning of other bodies. By rearranging the expected objects and stretching the ideas of function through an abstraction of materials. A new scenery is created where bodies are appearing in a state of flux with a goal to reach an interaction between the viewer and this presented context in a situation.
OPENING HOURS : 3, 5, 6, 7, 8, 11, 12, 13 from 4pm to 8pm
FINISSAGE : 13 july at 6pm
Vernissage le lundi 18 juin de 16h à 18h / à découvrir du 18 au 30 juin 2018
A l’atelier Rencontres Textiles, on use du fil en créant des liens.
A moins que ce ne soit l’inverse : on crée des liens en usant du fil.
Parfois même, on use nos liens en créant du fil ! Mais ça nous plaît tellement, qu’on y remet le cœur à l’ouvrage toutes les semaines !
Alors, cette fois-ci, on a eu envie de le dire, de le montrer, de l’exprimer : ce qui est nous, ensemble, là, aujourd’hui. Venez voir !
L’atelier Rencontres Textiles est issu de la collaboration entre le Centre d’Expression et de Créativité des Ateliers Populaires et du Projet de Cohésion Sociale Radis-Marolles.
Une exposition dans le cadre du projet « 2018, année de la Contestation » de la Ville de Bruxelles
Vernissage le mercredi 28 février de 18h à 21h. Une exposition à découvrir du 1er mars au 30 juin 2018.
Permanences du lundi au samedi de 11h à 16h. L’exposition est fermée durant les vacances scolaires et les jours fériés. Accès gratuit. Visite guidée sur demande.
Qu’est-ce que le mot “contestation” veut encore dire pour nous aujourd’hui ? Notre monde contemporain nous révolte. Le drame des réfugiés. L’extinction des abeilles essentielles à notre survie. Comment exprimons nous cette révolte aujourd’hui ?
Un artiste / apiculteur, Jacques Dujardin, a proposé cette thématique à cinq jeunes artistes. Son travail personnel: “Le dernier apiculteur”, “Happy Thérapie”, “Notre Dame des abeilles” à été le point de départ de la réflexion. “L’éloge de la fuite” oeuvre d’art intégrée au Centre Culturel Bruegel par Marco Dessardo a sans aucun doute également nourri leur création.
Ces cinq jeunes sculpteurs proposent leurs oeuvres contemporaines. Leur vision est l’expression d’une entrée en résistance. Ces oeuvres nous incitent à réfléchir. Elles posent des constats: demain notre nature à jamais disparue après l’extinction des abeilles n’existera-t-elle plus qu’à l’état de fossiles ? La contestation, telle celle de mai 68, est-elle définitivement figée dans la poussière du passé ?
Elles font aussi voyager notre imaginaire vers des pistes de fuites ou de solutions. Ils nous manifestent que la contestation d’aujourd’hui fait appel à notre intelligence. Ces jeunes artistes nous rappellent que nous sommes maîtres de notre destin et que l’avenir nous appartient à condition que nous nous mettions en marche pour “Demain” !
Les élèves
Céleste Alicot (FR, 1996) – 2ème année sculpture
Installation; scénographie; mémoire/temps
L’installation souhaite faire réagir le spectateur. Elle l’interpelle par son aspect figé “moment de retour de manif en 1968…”.
Aujourd’hui nous observons un mouvement de contestation du passé. A-t-elle, en son temps, changé quelque chose ? Cette forme de contestation est-elle toujours d’actualité ? Aujourd’hui comment exprimerions-nous notre révolte ?
Hilarey Cowan (Canada, 1987) – 2ème année sculpture
Une figure mystérieuse cherche ce qui n’existe plus dans un futur post-apocalyptique. Ses connaissances, précieuses, viennent d’une époque révolue, peu s’en souviennent. À la fois vivante et préservée, elle nous invite à dialoguer sur la perte et la détresse.
Simon Fascilla (Be, 1997) – 1ère année sculpture
Installation de dalles composées d’argile, de terreau et de graines de fleurs. Elles sont hexagonales comme les alvéoles d’une ruche. Ces dalles sont friables et se décomposent au rythme du temps et des intempéries pour créer à terme un parterre de fleurs destiné à attirer les abeilles.
Heinz Walcarius (Be, 1972) – 2ème année sculpture
Deux bateaux, construits à partir de déchets, facilement trouvés dans un environnement urbain. Le radeau et le zodiaque représentent une fuite / issue de secours avec des moyens pauvres. Essayer d’échapper à un endroit hostile avec ces embarcations est un grand risque. Les couleurs jaunes et noires expriment l’espoir et le désespoir. Les bidons d’huile de friture créent un lien entre notre nourriture, symbole de l’industrialisation environnante et le désastre qu’elle crée sur les abeilles et leur nourriture.
Sorte d’arche de Noé faite à base de matériaux de récupération, cette installation évoque le départ des abeilles vers un monde meilleur.
Jérôme Wilot (Be, 1995) – 1ère année sculpture
Mon travail consiste à enfermer des pelures de fruits dans des blocs de résines coulés à partir de moules de pavés bruxellois. Le déchet consommé est soumis au regard, figé dans un espace dur mais transparent laissant apparaître un passé qui n’est plus. Quand bien même nous chercherions à nous en saisir la vitalité de la matière n’est plus; son fantôme ne pourrait que nous renseigner sur les conditions de vie pour la flore d’alors. À l’image de ces insectes figés dans l’ambre.
Jacques Dujardin (Be, 1956)
Artiste-apiculteur, il réalise des sculptures, qui subliment notre lien à la Terre et à la vie mais aussi des performances qui dénoncent les producteurs de pesticides et les effets délétères de ceux-ci sur la population apicole.
L’exposition sera également illustrée par les photographies de Dieter Telemans.
Avec le soutien de la SRABE (Société Royale d’Apiculture de Bruxelles et de ses Environs) |
Une exposition à découvrir du 7 au 10 décembre 2017.
Quelle est ma Belgique ? Comment les Brésiliens qui vivent dans ce pays la perçoivent ?
Quel est ce regard sur notre pays d’accueil ? Pour essayer de répondre à la question nous avons choisi la photographie comme support pour montrer notre vision et notre attachement à notre Belgique qui est devenue notre autre maison.
Les participants seront des membres issues de la communauté Brésilienne résidant dans les trois régions du pays. Cette activité est organisée par le CCBL, Conselho de Cidadania Belgica e Luxemburgo avec l’appui du Consulat Général du Brésil en Belgique et au Luxembourg.
Une exposition à découvrir du 9 au 30 novembre 2017.
INVISIBLE fait partie du projet « Painted for them » un jeune projet, né il y a quatre ans, qui utilise la peinture pour lever des fonds afin d’aider des personnes en situation de rue.
Sur base de rencontres faites dans la rue sont peintes toiles et fresques. Les toiles sont vendues au profit d’associations d’aides à ces personnes. Les fresques murales sont quant à elles réalisées gratuitement en rue afin de ré-humaniser celles-ci et d’y faire passer des messages positifs.
Le projet s’est développé tant en Amérique Latine qu’en Belgique. L’exposition est organisée par le peintre Spear en collaboration avec le collectif Propaganza.
Témoin d’une correspondance pas comme les autres entre deux écoles et deux Homes du quartier des Marolles (les écoles Baron Steens et Emile André, les résidences Sainte-Gertrude et Aux Ursulines).
Cette exposition prend la forme d’un Cabinet de Curiosité : elle est issue d’ateliers aux multiples langages menés par Les Dévoyées, qui, pendant plusieurs semaines, à travers de mini-laboratoires sur l’intime, l’identité et la singularité, se sont faites les messagères de deux générations foulant le même pavé.
La Main à l’Oreille est une association de parents, famille et amis de personnes présentant des difficultés liées au trouble du spectre de l’autisme, à la psychose infantile ou à une phobie sociale grave. Depuis sa création, cette association a à cœur de faire connaitre et partager les inventions et créations de ces personnes.
Cette exposition rassemble les œuvres de jeunes en lien avec des associations de parents d’Europe (TEAdir Aragon en Espagne, La Main à l’Oreille en France, La Main à l’Oreille en Belgique), des institutions et des ateliers créatifs.
Vernissage le vendredi 16 juin de 18h à 21h
Sébastien Delvaux interroge l’image, l’acte de création et son rapport à l’oeuvre. Sa démarche consiste en la recherche d’un équilibre. Un équilibre sur le fil, fragile interrogeant « la réalité » de l’oeuvre d’art.
Dans l’élaboration d’une oeuvre, dans la tentative de faire oeuvre, il voyage entre réalité et représentation vrai et faux… Il utilise ses oppositions pour créer un va et vient, une ambiguïté, un espace flou nous conduisant à entrevoir l’instant de l’oeuvre.
Du 6 mai au 8 juin 2017
Vernissage : jeudi 4 mai de 18H à 21H
Ouverte le dimanche sauf jours fériés de 10 à 16H
Entrée libre
« Visages et Emballages« , une exposition de Sylvie Delplanque et Caroline Daish, en collaboration avec Marilyne Grimmer.
Sylvie Delplanque travaille sur les techniques de collage, la création de romans photo et les installations de tapis.
Caroline Daish travaille sur les masques. Les vidéos présentées dans l’exposition sont issues de son spectacle « Voicing my Brother » (2016).
Vernissage : jeudi 20 avril de 15H à 18H
Ouverte : 22 & 23 avril de 12 à 16H
Entrée libre
« En 2006, Christine Rigaux m’invite à intervenir sur le projet du nouveau Centre Culturel Bruegel. Sculpteur, assisté de Caroline Gehu (architecte) et de Fabrice Delsinne (soudeur), je propose à Roose Partners Architects de détourner les gouttières de leur bâtiment et d’organiser leurs fuites dans le patio d’entrée. Ils acceptent. En 2016, le bâtiment se construit, enfin. À Bruxelles, il pleut toujours, dans le monde, les fuites en tous genres se sont multipliées. On construit l’«Éloge de la Fuite», une pièce d’acier inoxydable soudé, un rhizome intégré à l’architecture, qui fait rigoler l’eau pluviale par gouttières et goulottes apparentes jusqu’à l’égout final. Quand il pleut, l’eau coule dans les mains courantes, stagne dans des contre-pentes, court, fuit, éclabousse. »
Crédit photo : Julien Forthomme
Une exposition collective de Marco Dessardo, Celia Dessardo, Manon Brûlé, Sarah Brûlé et Caroline Gehu.
Un centre culturel de quartier à rénover
dans un pays pluvieux.
Un architecte fait des plans
Un sculpteur rêve de dysfonctionnement
de gouttières qui fuient, débordent et rigolent
Dix ans passent.
Le bâtiment se construit.
Le chantier fait du bruit, ça encombre la rue
Dans le monde, les fuites en tous genres se multiplient
Cinq artistes prennent la fuite
à bras le corps
Marco stocke ses bateaux en cas de déluge
Celia récolte des histoires de fuites auprès des marolliens
et les suspend à la silhouette du quartier
qui court sur les murs du rez-de-chaussee
Manon les dessine, libérant panthères et bateaux
Sarah et Caroline les replient le long des toitures et des gouttières, jusqu’à la mer.